Un serpent mord Marc-Antoine Dequoy dans Sortez-moi d’ici!

L’avant-dernier épisode
de Sortez-moi d’ici! n’a
pas déçu : frissons, tension et moments intenses étaient une fois
de plus au rendez-vous.
Les cinq derniers campeurs toujours en lice ont dû relever
des défis plus extrêmes que jamais, testant leurs limites
physiques… et mentales.
L’épisode a démarré sur les chapeaux de roue avec une épreuve particulièrement répugnante pour le duo Jean-Michel Anctil et Gino Chouinard. Dans les entrailles d’un décor franchement déstabilisant, les deux complices ont dû faire appel à leurs connaissances générales… tout en gardant leur sang-froid.
Le premier défi de l’épisode mettait Jean-Michel Anctil et Gino Chouinard à l’épreuve : ils devaient deviner quel ancien campeur réussirait à répondre à des questions de culture générale. Mais gare aux mauvaises réponses… À chaque erreur, c’était direction un bassin infesté de fruits et légumes pourris, de carcasses animales et d’entrailles. Pas de plongeon rafraîchissant ici : les deux complices ont terminé trempés, nauséeux, et avec seulement 4 étoiles sur 10. Une épreuve aussi dégoûtante qu’humiliante !
Un serpent, une peur viscérale… et un acte de courage
Le deuxième défi a marqué un tournant saisissant dans l’épisode. Brigitte Lafleur et Marc-Antoine Dequoy devaient relever une épreuve en duo, chacun ayant un rôle bien défini.
Pendant que Brigitte fouillait
des barils visqueux et répugnants à la recherche de pièces de
casse-tête, Marc-Antoine était enfermé dans une cage avec… 40
serpents vivants.
Ce que la production savait – et que Marc-Antoine craignait depuis
le premier jour – c’est que les serpents sont sa plus grande
phobie.
Et le cauchemar est devenu réel : l’un des serpents l’a mordu au bras en pleine épreuve. Malgré la panique, la douleur et la peur, le joueur de football professionnel a gardé son sang-froid, démontrant une force de caractère impressionnante. Il a tenu bon jusqu’au bout.
Une récompense bien méritée

Grâce à leur bravoure, tout le camp a pu savourer une récompense sucrée : une bonne crème glacée, plus que méritée après tant d’émotions.



