
L’affaire Jubillar continue de hanter les esprits, même derrière les murs épais de la prison. Incarcéré dans l’attente de son procès pour le meurtre présumé de sa femme Delphine, Cédric Jubillar est désormais affublé d’un surnom glaçant par certains codétenus :
« Celui qui a fait disparaître sa femme. »
Un sobriquet lourd de sens, lancé dans les couloirs de la maison d’arrêt, et qui illustre le climat pesant autour du principal suspect dans cette affaire qui bouleverse la France depuis la disparition de Delphine, en décembre 2020.

Selon des sources proches du dossier, le silence et la distance règnent autour de lui, certains détenus refusant même tout contact, par peur ou par mépris.
Ce surnom, qui circule avec froideur, résume en quelques mots l’horreur supposée de ce drame encore enveloppé de zones d’ombre.
Depuis son incarcération, Cédric Jubillar clame son innocence, mais le regard des autres, en prison comme à l’extérieur, semble déjà scellé. À mesure que le procès approche, la tension monte… et avec elle, la mémoire douloureuse d’une femme disparue sans laisser de trace.
Le mystère demeure entier, mais les murs de la prison, eux, ont déjà leur verdict non officiel : un surnom, et un poids que Cédric devra porter jour après jour.

Elle apporte une touche de profondeur et de sensibilité à l'univers des potins de stars. À travers ses mots envoûtants, Elle explore les émotions et les vérités cachées derrière les visages célèbres. Son blog offre une pause bienvenue dans le tourbillon des ragots, invitant les lecteurs à réfléchir et à ressentir au-delà des apparences.



