Le monde du basketball est en deuil.
Elden Campbell, ancien pivot des Lakers et
champion NBA, est décédé à l’âge de 57 ans, une nouvelle qui secoue
profondément la communauté sportive.
Joueur discret mais immensément respecté, Campbell laisse derrière lui une carrière de 15 saisons dans la NBA, marquée par son intelligence de jeu, sa constance et sa force tranquille.
Campbell a passé une grande partie de son parcours avec les Los Angeles Lakers, où il a côtoyé des légendes comme Shaquille O’Neal et Kobe Bryant.
Ses meilleures années offensives sont survenues en 1996-1997, alors qu’il approchait les 15 points par match, s’imposant comme un pilier fiable de l’alignement.
Mais au-delà des statistiques, Campbell s’est forgé une réputation de :
- défenseur redoutable,
- rebondeur constant,
- vétéran exemplaire,
- joueur d’équipe apprécié partout où il passait.
Après son départ des Lakers en 1999, Elden Campbell a poursuivi sa carrière à :
- Charlotte,
- La Nouvelle-Orléans,
- Seattle,
- et New Jersey.
Partout, il se distinguait par sa capacité à s’intégrer rapidement et à élever le niveau de jeu collectif.
Son moment le plus marquant reste sa conquête du titre NBA en 2004 avec les Detroit Pistons — une victoire symbolique puisqu’elle a été remportée… contre les Lakers, son ancienne équipe.
Ce championnat a scellé une carrière déjà remplie de respect et d’accomplissements.
La nouvelle de son décès, confirmée par les médias américains, a provoqué une pluie d’hommages :
- anciens coéquipiers,
- adversaires,
- entraîneurs,
- commentateurs sportifs.
Tous soulignent la même chose :
👉 la modestie d’Elden Campbell,
👉 son calme contagieux,
👉 et sa grande valeur dans un vestiaire.
Les circonstances de sa mort n’ont pas encore été dévoilées.
Campbell n’était pas toujours sous les projecteurs, mais il
incarnait parfaitement ce que la NBA compte parmi ses plus grands
:
un professionnel exemplaire, un coéquipier fiable et un
vétéran admiré.
Sa disparition rappelle à quel point certains joueurs marquent une génération non pas par le show, mais par la profondeur de leur influence.
La NBA perd aujourd’hui :
- un homme d’équipe,
- un champion,
- un pilier discret mais essentiel de deux décennies de basketball.
